Kouchner-Palestine : le couple qui tue! (les palestiniens)
Page 1 sur 1
Kouchner-Palestine : le couple qui tue! (les palestiniens)
Objet: Bernard Kouchner complice des sionistes
À: niortrli@listes.rezocitoyen.org
Objet: : De Raymond RICHA
Dimanche 5 octobre 2008
Karima(*) Abu Dalal, 30 ans, attendait l’autorisation de
se rendre en Cisjordanie pour une deuxième transplantation de moelle osseuse,
après une rechute de la leucémie qui s’était déclarée après la naissance de son
fils.
Karima, originaire du camp de réfugiés de An-Nuseirat, au centre de
la bande de Gaza, a appris qu’elle était atteinte de leucémie après la naissance
de son fils Ahmad, il y a trois ans.
Sa maladie s’est rapidement étendue
et elle n’a jamais pu allaiter son enfant.
A 26 ans elle a subi une
première greffe de moelle en Egypte ; six mois plus tard un rejet chronique du
tissu transplanté s’est produit et depuis sa santé s’est rapidement
dégradée.
Maher, le mari de Karima l’a amenée dans un hôpital de
Naplouse, au nord de la Cisjordanie, qui s’était récemment équipé pour les
greffes de moelle osseuse. On l’a préparée pour une deuxième intervention
chirurgicale.
Alors que les tests de compatibilité se poursuivaient et
que la santé de Karima continuait à se détériorer, craignant la mort, elle a
voulu revenir à Gaza afin de pouvoir dire adieu à son enfant et à sa
famille.
Après cette visite, Maher a voulu la ramener à l’hôpital de
Naplouse où l’opération était planifiée. Mais quand ils sont arrivés au point de
passage entre Gaza et Israël, les autorités israéliennes l’ont empêchée de
passer.
Informés de cet évènement, plusieurs organisations
humanitaires israéliennes et Médecins sans Frontières sont intervenus. Ils ont
transmis des rapports sur l’état de santé très grave de cette femme et des
lettres de recommandation.
Les Israéliens ont maintenu leur refus, affirmant
que, selon leurs « informations sécuritaires », Karima allait commettre
un attentat à la bombe une fois qu’elle serait en Israël.
Des rapports supplémentaires produits par des médecins
israéliens et internationaux ont été envoyés aux autorités militaires,
expliquant que Karima était incapable de se tenir debout, et donc bien
évidemment incapable de prévoir et de commettre un attentat en
Israël.
Les services de sécurité et de renseignement israéliens
ont réaffirmé que la femme représentait un danger sécuritaire pour
Israël.
« Ce qui me blesse le plus c’est la fausseté de leurs
informations. » dit Maher.
Il déclare avoir fait des demandes pour aller en
Jordanie, comme alternative de traitement pour sa femme.
Il affirme avoir
déposé six recours auprès des tribunaux israéliens pour faire appel de la
décision des autorités militaires et pour obtenir la permission de faire passer
Karima par le point de passage d’Erez situé au nord de la bande de
Gaza.
La raison qui lui était donnée à chaque fois, pour lui
refuser l’autorisation de quitter Gaza et l’accès au traitement pour sa femme
fut :
«Informations top secrètes des services de renseignements
israéliens»
En ce dimanche 5 octobre 2008, Karima fut déclarée
cliniquement morte dans un hôpital de Gaza.
Pas trop loin de cet hôpital, toujours en terre
occupée de la Palestine, un ministre, celui des affaires étrangères de France,
celui qui prétend être un grand défenseur des
droits de l’homme, préfère passer sous silence de marbre, devant ces
actes criminels perpétrés quotidiennement par l’entité sioniste.
Cette
dernière lui est si chère, au point de n’avoir comme souci que l’arme nucléaire
iranienne.
Qu’importe le silence de ce ministre puisque Karima vit dorénavant en nous, renforçant ainsi notre
détermination à résister…
(*) Le nom Karima signifie "généreuse" en
arabe
6 octobre
2008
Raymond RICHA
À: niortrli@listes.rezocitoyen.org
Objet: : De Raymond RICHA
Dimanche 5 octobre 2008
Karima(*) Abu Dalal, 30 ans, attendait l’autorisation de
se rendre en Cisjordanie pour une deuxième transplantation de moelle osseuse,
après une rechute de la leucémie qui s’était déclarée après la naissance de son
fils.
Karima, originaire du camp de réfugiés de An-Nuseirat, au centre de
la bande de Gaza, a appris qu’elle était atteinte de leucémie après la naissance
de son fils Ahmad, il y a trois ans.
Sa maladie s’est rapidement étendue
et elle n’a jamais pu allaiter son enfant.
A 26 ans elle a subi une
première greffe de moelle en Egypte ; six mois plus tard un rejet chronique du
tissu transplanté s’est produit et depuis sa santé s’est rapidement
dégradée.
Maher, le mari de Karima l’a amenée dans un hôpital de
Naplouse, au nord de la Cisjordanie, qui s’était récemment équipé pour les
greffes de moelle osseuse. On l’a préparée pour une deuxième intervention
chirurgicale.
Alors que les tests de compatibilité se poursuivaient et
que la santé de Karima continuait à se détériorer, craignant la mort, elle a
voulu revenir à Gaza afin de pouvoir dire adieu à son enfant et à sa
famille.
Après cette visite, Maher a voulu la ramener à l’hôpital de
Naplouse où l’opération était planifiée. Mais quand ils sont arrivés au point de
passage entre Gaza et Israël, les autorités israéliennes l’ont empêchée de
passer.
Informés de cet évènement, plusieurs organisations
humanitaires israéliennes et Médecins sans Frontières sont intervenus. Ils ont
transmis des rapports sur l’état de santé très grave de cette femme et des
lettres de recommandation.
Les Israéliens ont maintenu leur refus, affirmant
que, selon leurs « informations sécuritaires », Karima allait commettre
un attentat à la bombe une fois qu’elle serait en Israël.
Des rapports supplémentaires produits par des médecins
israéliens et internationaux ont été envoyés aux autorités militaires,
expliquant que Karima était incapable de se tenir debout, et donc bien
évidemment incapable de prévoir et de commettre un attentat en
Israël.
Les services de sécurité et de renseignement israéliens
ont réaffirmé que la femme représentait un danger sécuritaire pour
Israël.
« Ce qui me blesse le plus c’est la fausseté de leurs
informations. » dit Maher.
Il déclare avoir fait des demandes pour aller en
Jordanie, comme alternative de traitement pour sa femme.
Il affirme avoir
déposé six recours auprès des tribunaux israéliens pour faire appel de la
décision des autorités militaires et pour obtenir la permission de faire passer
Karima par le point de passage d’Erez situé au nord de la bande de
Gaza.
La raison qui lui était donnée à chaque fois, pour lui
refuser l’autorisation de quitter Gaza et l’accès au traitement pour sa femme
fut :
«Informations top secrètes des services de renseignements
israéliens»
En ce dimanche 5 octobre 2008, Karima fut déclarée
cliniquement morte dans un hôpital de Gaza.
Pas trop loin de cet hôpital, toujours en terre
occupée de la Palestine, un ministre, celui des affaires étrangères de France,
celui qui prétend être un grand défenseur des
droits de l’homme, préfère passer sous silence de marbre, devant ces
actes criminels perpétrés quotidiennement par l’entité sioniste.
Cette
dernière lui est si chère, au point de n’avoir comme souci que l’arme nucléaire
iranienne.
Qu’importe le silence de ce ministre puisque Karima vit dorénavant en nous, renforçant ainsi notre
détermination à résister…
(*) Le nom Karima signifie "généreuse" en
arabe
6 octobre
2008
Raymond RICHA
Sujets similaires
» c'est un peu pour les pro-Palestiniens
» Ces terroristes de Palestiniens :o((
» Les Palestiniens en ont marre
» La fausse main tendue aux Palestiniens
» Les Palestiniens de Cisjordanie et de Jérusalem souffrent...
» Ces terroristes de Palestiniens :o((
» Les Palestiniens en ont marre
» La fausse main tendue aux Palestiniens
» Les Palestiniens de Cisjordanie et de Jérusalem souffrent...
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|