Pour en finir avec Polanski
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Pour en finir avec Polanski
Par hasard, je suis tombé sur la photo de Samantha bailey, prise par Polanski lui-même au moment des faits.
Les gros dégueulasses (il fallait que je mette ce terme) peuvent bien ergoter, au moment du viol c'était bien encore une gamine.
Les gros dégueulasses (il fallait que je mette ce terme) peuvent bien ergoter, au moment du viol c'était bien encore une gamine.
Re: Pour en finir avec Polanski
relations sexuelles illicites, scuze... bon ok, j'arrête.
kayokay-
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Re: Pour en finir avec Polanski
Polanski cinéaste OK, mais comme "portraitiste", c'est nettement plus faible....
scud56-
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Loisirs : Ne rien faire. Au chaud c'est encore mieux
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Re: Pour en finir avec Polanski
L'était bourréscud56 a écrit:Polanski cinéaste OK, mais comme "portraitiste", c'est nettement plus faible....
Re: Pour en finir avec Polanski
Pour vraiment en finir avec cette histoire... Voici mon poi9nt de vue.
http://www.lemonde.fr/cinema/article/2009/10/14/a-cause-de-sa-celebrite-polanski-n-a-pas-eu-un-proces-equitable_1253946_3476.html
Au cas où, moi j'avais déjà vu le documentaire bien avant l'arrestation de Polanski. Donc yap si tu me lis...
http://www.lemonde.fr/cinema/article/2009/10/14/a-cause-de-sa-celebrite-polanski-n-a-pas-eu-un-proces-equitable_1253946_3476.html
Au cas où, moi j'avais déjà vu le documentaire bien avant l'arrestation de Polanski. Donc yap si tu me lis...
kayokay-
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Re: Pour en finir avec Polanski
il s'est fait piéger par ses dém ons . C'est son problème.
Pas d'ex cuses .
je rejoins SCUD , la mère est au tant resp nsable que LUI .
Pas d'ex cuses .
je rejoins SCUD , la mère est au tant resp nsable que LUI .
Re: Pour en finir avec Polanski
Mais reconnais que la Justice Américaine a mal fait son taf, que ce procès a manqué d'équité et que les faits ne sont pas ceux qui y ont été discutés. Quand on a un procureur qui fait déjà plaider les avocats des deux parties selon son bon vouloir, et qui complote avec le juge ensuite pour revenir dessus, c'est quand même difficile de venir jouer les "preux chevaliers de la croisade anti-pédophiles-privilégiés", ensuite.Razibuzouzou a écrit:il s'est fait piéger par ses dém ons . C'est son problème.
Pas d'ex cuses .
je rejoins SCUD , la mère est au tant resp nsable que LUI .
Ce que je dis à tous ici et ailleurs, c'est : APRENEZ À CONNAITRE LES FAITS AVANT DE JUGER !
Sur ce...
Dernière édition par kayokay le Jeu 15 Oct - 12:44, édité 1 fois
kayokay-
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Re: Pour en finir avec Polanski
Euh.. par contre je suis très troublé. Cette fille ressemble à kayokette quand elle avait 18 ans presque trait pour trait...Gotch a écrit:Par hasard, je suis tombé sur la photo de Samantha bailey, prise par Polanski lui-même au moment des faits.
Les gros dégueulasses (il fallait que je mette ce terme) peuvent bien ergoter, au moment du viol c'était bien encore une gamine.
kayokay-
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Là où Finkie dit tout et son contraire ...
Des Fluctuations Dans L’« Intériorisation Du Regard Des Adultes »
par Sébastien Fontenelle
Dans leur(s) rapport(s) aux enfants, les adultes se divisent en deux, mon ami(e) - entre, d’une part, de méchants salauds de profs
acharnés à perdre les enfants dont ils ont la charge (en leur proposant, par exemple, de répugnants « projets pédagogiques » fondés sur la fréquentation de Riri, Fifi et Loulou), et, d’autre part, le gentil Roman Polanski (et son drôle de zizi).
Tel est du moins l’avis de l’un de nos plus raffinés penseurs (médiatiques) : Alain Finkielkraut, also known as Finkie. De son point de vue, en effet, tel qu’il le développe cette semaine dans l’hebdomadaire Marianne [1], un terrible danger menace l’école de la République : « Certains enseignants », lie de l’humanité professorale, utilisent les (rebondies) « cagnottes » que l’État met (libéralement) à leur disposition (avec l’argent de nos prélèvements obligatoires)« pour des projets pédagogiques tels que des sorties à Disneyland Paris ». Finkie, effondré, complète le portrait de l’indigne fonctionnaire vendu au Mickey Mouse Club : c’est le prof qui, « dès qu’on lui parle « culture », (...) sort ses exclus ». (Un sale gauchiste, quoi.)
Ce méprisable personnage est directement responsable du naufrage de l’enseignement républicain, que Finkie décrypte comme suit : « Pour enseigner le logos à des êtres qui ne sont pas spontanément logiques » - les collégien(ne)s de 13 ans, par exemple - « nous comptons, depuis les origines de l’école, sur ce que les gens appelaient l’aidos, la pudeur, la réserve ». En effet, « comme l’écrit Solange Vergnières, commentant Aristote : « L’enfant qui a le sens de la pudeur (...) écoute ce qu’on lui dit » ». Or : « Cette intériorisation du regard des adultes a de moins en moins cours ». La preuve : « La présence et l’utilisation des portables dans les salles de classe en font foi ».
Je résume, pour le cas (douteux) où tu n’aurais pas bien saisi les mille et mille nuances du Fink thinking : « certains enseignants »,
perclus de progressisme, ambitionnent (impunément) d’extirper de l’esprit des collégien(ne)s (et autres lycéen(ne)s) de France et de
Navarre « l’aidos, la pudeur, la réserve » - alors qu’ils devraient, au contraire, s’attacher à préserver cette « pudeur » qui fait qu’un(e) élève - de 13 ans, mais pas que - « écoute ce qu’on lui dit ».
J’insiste un peu lourdement, mais tu vas voir que c’est nécessaire à une meilleure appréhension des complexités de la pensée d’Alain
Finkielkraut. Car en effet : dans le même temps qu’il donne (dans Marianne) son avis sur l’école et sur la nécessaire préservation de la « pudeur » des collégien(ne)s (qu’il voit, retiens-le, comme des « enfants »), Finkie donne également (sur France Inter) son avis sur ce qu’il est convenu d’appeler « l’affaire Polanski » - affaire assez simple au demeurant, où Roman Polanski, je vais le dire un peu crûment, a enculé une gamine de 13 ans, sans trop se soucier de ménager son aidos, sa pudeur, sa réserve.
Et là, stupéfiante surprise : Finkie, ulcéré par la « persécution » du pauvre Polanski, énonce, très posément, que « la plaignante », à 13 ans, « n’était pas (...) une enfant ». De sorte que l’aimable Polanski, contre qui se déchaîne une « fureur de la persécution », « n’est pas » (du tout) « pédophile » [2].
(Cliquer ici pour un complément d’édification.)
Nous sommes confrontés, là, tu l’auras compris, à la révélation que Tartuffe (pour rester poli) se porte à merveille, merci pour lui -
puisqu’en l’espace de 48 heures, le même grand philosophe nous explique, un : que « certains enseignants » (dont les pulsions communisantes se devinent à l’attention qu’ils portent aux « exclus ») ont un comportement qui est un véritable attentat à la « pudeur » des collégien(ne)s, quand par exemple ils tolèrent que ces « enfants » viennent avec « des portables dans les salles de classe ».
Mais, deux : que le cinéaste qui encule une collégienne de 13 ans n’atteint nullement la « pudeur » [3] de sa victime, qui d’ailleurs n’en avait que fort peu, puisqu’elle « posait dénudée pour Vogue homme » - et qui d’ailleurs n’était pas (du tout) une « enfant ». En somme, tout est vachement - et salement - relatif, dans la philosophie d’Alain Finkielkraut. Si tu sors ton projet pédagogique devant une collégienne : tu abîmes l’enfance, au lieu de l’aider à rester pudique - et tu dois être dénoncé pour ce que tu es. Mais si tu sors plutôt ta « relation sexuelle illégale », comme on dit gentiment : tu mérites mieux qu’une (honteuse) « persécution ». Fais-moi penser à te donner mon avis, la prochaine fois que des journaleux nous chanteront les beautés de la finkosophie.
Notes
[1] Où l’on aime à le traiter, en même temps qu’on fustige l’« anticonformisme bien conforme » dont il est, dans l’époque, l’un des plus bruyants tambourineurs - mais il est vrai aussi que le ridicule ne tue pas.
[2] Et d’ailleurs : sa victime « posait dénudée pour Vogue homme » - de sorte qu’il est tout de même permis de se demander si cette petite
salope n’aurait pas un peu cherché ce qui lui est arrivé ?
[3] Et ne parlons pas de son aidos.
par Sébastien Fontenelle
Dans leur(s) rapport(s) aux enfants, les adultes se divisent en deux, mon ami(e) - entre, d’une part, de méchants salauds de profs
acharnés à perdre les enfants dont ils ont la charge (en leur proposant, par exemple, de répugnants « projets pédagogiques » fondés sur la fréquentation de Riri, Fifi et Loulou), et, d’autre part, le gentil Roman Polanski (et son drôle de zizi).
Tel est du moins l’avis de l’un de nos plus raffinés penseurs (médiatiques) : Alain Finkielkraut, also known as Finkie. De son point de vue, en effet, tel qu’il le développe cette semaine dans l’hebdomadaire Marianne [1], un terrible danger menace l’école de la République : « Certains enseignants », lie de l’humanité professorale, utilisent les (rebondies) « cagnottes » que l’État met (libéralement) à leur disposition (avec l’argent de nos prélèvements obligatoires)« pour des projets pédagogiques tels que des sorties à Disneyland Paris ». Finkie, effondré, complète le portrait de l’indigne fonctionnaire vendu au Mickey Mouse Club : c’est le prof qui, « dès qu’on lui parle « culture », (...) sort ses exclus ». (Un sale gauchiste, quoi.)
Ce méprisable personnage est directement responsable du naufrage de l’enseignement républicain, que Finkie décrypte comme suit : « Pour enseigner le logos à des êtres qui ne sont pas spontanément logiques » - les collégien(ne)s de 13 ans, par exemple - « nous comptons, depuis les origines de l’école, sur ce que les gens appelaient l’aidos, la pudeur, la réserve ». En effet, « comme l’écrit Solange Vergnières, commentant Aristote : « L’enfant qui a le sens de la pudeur (...) écoute ce qu’on lui dit » ». Or : « Cette intériorisation du regard des adultes a de moins en moins cours ». La preuve : « La présence et l’utilisation des portables dans les salles de classe en font foi ».
Je résume, pour le cas (douteux) où tu n’aurais pas bien saisi les mille et mille nuances du Fink thinking : « certains enseignants »,
perclus de progressisme, ambitionnent (impunément) d’extirper de l’esprit des collégien(ne)s (et autres lycéen(ne)s) de France et de
Navarre « l’aidos, la pudeur, la réserve » - alors qu’ils devraient, au contraire, s’attacher à préserver cette « pudeur » qui fait qu’un(e) élève - de 13 ans, mais pas que - « écoute ce qu’on lui dit ».
J’insiste un peu lourdement, mais tu vas voir que c’est nécessaire à une meilleure appréhension des complexités de la pensée d’Alain
Finkielkraut. Car en effet : dans le même temps qu’il donne (dans Marianne) son avis sur l’école et sur la nécessaire préservation de la « pudeur » des collégien(ne)s (qu’il voit, retiens-le, comme des « enfants »), Finkie donne également (sur France Inter) son avis sur ce qu’il est convenu d’appeler « l’affaire Polanski » - affaire assez simple au demeurant, où Roman Polanski, je vais le dire un peu crûment, a enculé une gamine de 13 ans, sans trop se soucier de ménager son aidos, sa pudeur, sa réserve.
Et là, stupéfiante surprise : Finkie, ulcéré par la « persécution » du pauvre Polanski, énonce, très posément, que « la plaignante », à 13 ans, « n’était pas (...) une enfant ». De sorte que l’aimable Polanski, contre qui se déchaîne une « fureur de la persécution », « n’est pas » (du tout) « pédophile » [2].
(Cliquer ici pour un complément d’édification.)
Nous sommes confrontés, là, tu l’auras compris, à la révélation que Tartuffe (pour rester poli) se porte à merveille, merci pour lui -
puisqu’en l’espace de 48 heures, le même grand philosophe nous explique, un : que « certains enseignants » (dont les pulsions communisantes se devinent à l’attention qu’ils portent aux « exclus ») ont un comportement qui est un véritable attentat à la « pudeur » des collégien(ne)s, quand par exemple ils tolèrent que ces « enfants » viennent avec « des portables dans les salles de classe ».
Mais, deux : que le cinéaste qui encule une collégienne de 13 ans n’atteint nullement la « pudeur » [3] de sa victime, qui d’ailleurs n’en avait que fort peu, puisqu’elle « posait dénudée pour Vogue homme » - et qui d’ailleurs n’était pas (du tout) une « enfant ». En somme, tout est vachement - et salement - relatif, dans la philosophie d’Alain Finkielkraut. Si tu sors ton projet pédagogique devant une collégienne : tu abîmes l’enfance, au lieu de l’aider à rester pudique - et tu dois être dénoncé pour ce que tu es. Mais si tu sors plutôt ta « relation sexuelle illégale », comme on dit gentiment : tu mérites mieux qu’une (honteuse) « persécution ». Fais-moi penser à te donner mon avis, la prochaine fois que des journaleux nous chanteront les beautés de la finkosophie.
Notes
[1] Où l’on aime à le traiter, en même temps qu’on fustige l’« anticonformisme bien conforme » dont il est, dans l’époque, l’un des plus bruyants tambourineurs - mais il est vrai aussi que le ridicule ne tue pas.
[2] Et d’ailleurs : sa victime « posait dénudée pour Vogue homme » - de sorte qu’il est tout de même permis de se demander si cette petite
salope n’aurait pas un peu cherché ce qui lui est arrivé ?
[3] Et ne parlons pas de son aidos.
Re: Pour en finir avec Polanski
Ah Finkie... Toujours à réfléchir avec ses reins celui-là !
kayokay-
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Date d'inscription : 14/08/2007
Re: Pour en finir avec Polanski
C'est vrai qu'il est très mal défendu, Polanski. Moi je pense qu'il faut plus recentrer l'affaire sur les faits. Et les faits sont faussés depuis le début puisque le procureur à forcé tout le monde au deal et que c'est lui-même qui s'est occupé de la description des faits. Moi je suis sûr que si Samantha Gailey a retiré sa plainte et est allé jusqu'à écrire une lettre au jury des oscars pour leur demander d'oublier cette affaire, c'est qu'elle sait que les faits ont été sciemment exagérés. Maintenant, on est quasiment sûrs qu'il n'y a pas eu viol puisque les pires détracteurs de Polanski assènent l'argument que "sodomiser une enfant de 13 ans en la faisant boire, c'est un viol". Ils n'auraient pas à le dire, s'il n'y avait pas eu de consentement. Et il faut rappeler que l'alcool et les drogues, Polanski aussi en a pris, ce qui fait qu'il ne s'agit pas d'un "empoisenement-en-vues-de-relations-sexuelles-non-consenties-au-départ". Polanski s'est tapé une mineure de 13 ans dans une ambiance de débauche glauque, point à la ligne. C'est d'ailleurs ce que signifie une sentence équivalent à 90 jours d'emprisonnement.
kayokay-
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Date d'inscription : 14/08/2007
Re: Pour en finir avec Polanski
Ce qui est condamnable dans l'affaire, c'est la justice très juste dès lors qu'il y a des affaires salaces et du fric à pomper (de plus gardons en tête le rôle énoooorme joué par les avocats qui font gagner un fric fou aux parents "montreurs" d'enfants) et faite n'importe comment chez les pauvres, que ce soit en France ou aux States. En l'occurrence, je trouve la mère de la jeune fille coupable alors que, visiblement, c'est elle qui a dû porter plainte pour sa fille.
Mais bon, dans ces milieux, en effet, j'ai tendance à croire ce qu'écrit euh... j'ai oublié son nom.
Et bon, quand je lis des critiques qui condamnent, ou quand j'entends des "défenseurs" aussi nuls que Costa Gavras, j'ai envie de flinguer tout le monde. Ils n'étaient pas là quand ça s'est passé, ça c'est pour les critiques... et tant qu'on n'aura pas été femme (et même les travestis n'y parviendront jamais), la gent masculine ne saura jamais ce que ça fait d'être "forcée" et de ne pas oser répliquer, ça c'est pour les défenseurs coûte que coûte de Polanski.
Mais bon, dans ces milieux, en effet, j'ai tendance à croire ce qu'écrit euh... j'ai oublié son nom.
Et bon, quand je lis des critiques qui condamnent, ou quand j'entends des "défenseurs" aussi nuls que Costa Gavras, j'ai envie de flinguer tout le monde. Ils n'étaient pas là quand ça s'est passé, ça c'est pour les critiques... et tant qu'on n'aura pas été femme (et même les travestis n'y parviendront jamais), la gent masculine ne saura jamais ce que ça fait d'être "forcée" et de ne pas oser répliquer, ça c'est pour les défenseurs coûte que coûte de Polanski.
Re: Pour en finir avec Polanski
Très Juste. Maintenant, enlève toi l'immage du réalisateur friqué qui fait la fête avec des jeunes filles et mets toi en tête celle d'un mec de 76 ans qui doit aller se faire juger par des mecs qui n'étaient pas là il y a 30 ans, avec un banc des plaignants vide, un proc qui veut se faire de la célébrité pour se faire réélire et une presse ricaine qui lui vomit dessus en demandant une peine exemplaire pour lui faire payer son délit de fuite... ALORS QUE PERSONNE SUR PLACE NE CONNAÎT VRAIMENT LES FAITS DANS LEUR ENSEMBLE, et que pour ça on va reconvoquer une mère de famille qui ne veut pas subir ce procès, un ancien proc qui ne veut pas de mauvaise pub et un ancien juge qui ne veut pas qu'on sache qu'il a été influencé. Pénible, quand même.clomani a écrit:
Et bon, quand je lis des critiques qui condamnent, ou quand j'entends des "défenseurs" aussi nuls que Costa Gavras, j'ai envie de flinguer tout le monde. Ils n'étaient pas là quand ça s'est passé, ça c'est pour les critiques... et tant qu'on n'aura pas été femme (et même les travestis n'y parviendront jamais), la gent masculine ne saura jamais ce que ça fait d'être "forcée" et de ne pas oser répliquer, ça c'est pour les défenseurs coûte que coûte de Polanski.
kayokay-
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Date d'inscription : 14/08/2007
RICHES OU PAUVRES !
http://www.20minutes.fr/article/366564/Culture-Mathilde-Seigner-Nicolas-Sarkozy-a-beaucoup-soutenu-Roman-Polanski.php
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