Sarko au Darfour
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Sarko au Darfour
pour aider l'economie!!!!
faudrait qui commence par arreter le genocide
finance par les compagnies d'armes americaine
http://www.liberation.fr/actualite/monde/268144.FR.php
front page de libe a part de ca
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spiderman-
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Date d'inscription : 13/07/2007
Re: Sarko au Darfour
Il y a du pétrole là bas. Donc ils vont y aller pour piquer du pétrole. Le reste ne les intéresse pas.spiderman a écrit:pour aider l'economie!!!!
faudrait qui commence par arreter le genocide
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yapadebu- Invité
Re: Sarko au Darfour
Hier soir, j'ai vu un papier annonçant que Salif Al Islam, le fils de Khadafi, allait bientôt annnoncer la libération des "otages : infirmières et médecin roumains"... au même moment de la visite du chef d'état pygmée qui nous dirige ! Dès que j'ai retrouvé l'article, je vous donne le lien...
voilà le copié-collé
LIBYE •
Le fils Kadhafi annonce l'extradition imminente des infirmières bulgares
L'affaire des infirmières et du médecin bulgares serait proche du dénouement, selon Al-Hayat.
Sayf Al-Islam Kadhafi, fils du leader libyen, a confié au quotidien
arabe que le transfert des prisonniers vers Sofia coïncidera
probablement avec la visite du président Sarkozy en Libye.
Tandis qu'à Paris, on évoque la possibilité d'un voyage du président
Nicolas Sarkozy en Libye mercredi prochain, Sayf Al-Islam Kadhafi, fils
du numéro un libyen, a déclaré à Al-Hayat
qu'un accord sur le transfert des infirmières bulgares accusées d'avoir
inoculé le virus du sida à des centaines d'enfants était "sur le point
d'aboutir". Il y a deux jours, la justice libyenne a commué en peine de
prison à vie la sentence de mort prononcée à l'encontre des cinq femmes
et du médecin palestinien. Ce qui ouvre la possibilité de l'extradition
vers la Bulgarie.
Joint par téléphone, Sayf Al-Islam a expliqué qu'il avait l'espoir
de voir le voyage de Nicolas Sarkozy coïncider avec la fin des
discussions entre Tripoli et Sofia : "Le transfert se fera après la fin
des discussions sur l'ensemble des détails de l'accord qui est sur le
point d'aboutir." Il a ajouté que "l'important est maintenant de régler
les détails de l'accord et non le transfert en lui-même. On est
désormais très proche d'un tel accord." Sayf Al-Islam est le président
de la Fondation Kadhafi, qui a négocié les dédommagements versés aux
familles des victimes. Selon lui, cet argent viendra "des dons et
annulations de dettes bulgares et tchèques ainsi que de fonds libyens".
Par ailleurs, il a dit s'attendre à "un arrangement avec l'Union
européenne dans un avenir proche". Un arrangement qui passerait par un
accord de partenariat indépendant du cadre de processus
euro-méditerranéen, dit de Barcelone. "Les Européens disent qu'il y a
le cadre de Barcelone, mais nous voulons un accord de partenariat à
part", a-t-il précisé. Il a affirmé par ailleurs qu'il y avait "des
accords avec d'autres pays européens, mais ils sont secrets et en cours
de discussion". "Tout sera rendu public en temps voulu. Le monde ne
doit pas blâmer la Libye d'avoir négocié et marchandé. Ce sont les
Européens qui ont transformé une affaire criminelle et humaine en
affaire politique."
En parallèle, il a indiqué avoir mené l'essentiel des négociations
avec la commissaire européenne aux Affaires extérieures Benita
Ferrero-Waldner, avec le ministre allemand des Affaires étrangères
Frank-Walter Steinmeier, et avec le secrétaire général de l'Elysée
Claude Guéant, ajoutant que "Nicolas Sarkozy et son épouse Cécilia ont
joué un rôle dans ce cadre". Le président français aurait dit
avant-hier lors d'une conversation téléphonique avec le dirigeant
libyen que la France était prête à équiper les hôpitaux de la ville de
Benghazi, là où le drame s'est produit. Le ministre des Affaires
étrangères français Bernard Kouchner a déclaré jeudi 19 juillet que
Nicolas Sarkozy se rendrait en Libye mercredi 25 juillet. Le
porte-parole de l'Elysée David Martinon s'est contenté de dire que le
président accepterait l'invitation de Kadhafi "si cela pouvait être
utile".
Il a également expliqué que la Libye était "un partenaire
stratégique dans le cadre du projet d'Union méditerranéenne auquel
travaille le président Sarkozy. Par conséquent, le voyage du président
français s'inscrirait dans la suite de sa tournée au Maghreb. Il
voudrait en discuter avec Mouammar Kadhafi, qui s'est montré très
intéressé." Il a ajouté qu'il y avait également "des questions
d'intérêt commun entre la Libye et la France, dont la lutte contre le
terrorisme. De même, la France entretient des relations efficaces avec
la Libye sur les réseaux d'immigration illégale."
Le fils Kadhafi annonce l'extradition imminente des infirmières bulgares
L'affaire des infirmières et du médecin bulgares serait proche du dénouement, selon Al-Hayat.
Sayf Al-Islam Kadhafi, fils du leader libyen, a confié au quotidien
arabe que le transfert des prisonniers vers Sofia coïncidera
probablement avec la visite du président Sarkozy en Libye.
Tandis qu'à Paris, on évoque la possibilité d'un voyage du président
Nicolas Sarkozy en Libye mercredi prochain, Sayf Al-Islam Kadhafi, fils
du numéro un libyen, a déclaré à Al-Hayat
qu'un accord sur le transfert des infirmières bulgares accusées d'avoir
inoculé le virus du sida à des centaines d'enfants était "sur le point
d'aboutir". Il y a deux jours, la justice libyenne a commué en peine de
prison à vie la sentence de mort prononcée à l'encontre des cinq femmes
et du médecin palestinien. Ce qui ouvre la possibilité de l'extradition
vers la Bulgarie.
Joint par téléphone, Sayf Al-Islam a expliqué qu'il avait l'espoir
de voir le voyage de Nicolas Sarkozy coïncider avec la fin des
discussions entre Tripoli et Sofia : "Le transfert se fera après la fin
des discussions sur l'ensemble des détails de l'accord qui est sur le
point d'aboutir." Il a ajouté que "l'important est maintenant de régler
les détails de l'accord et non le transfert en lui-même. On est
désormais très proche d'un tel accord." Sayf Al-Islam est le président
de la Fondation Kadhafi, qui a négocié les dédommagements versés aux
familles des victimes. Selon lui, cet argent viendra "des dons et
annulations de dettes bulgares et tchèques ainsi que de fonds libyens".
Par ailleurs, il a dit s'attendre à "un arrangement avec l'Union
européenne dans un avenir proche". Un arrangement qui passerait par un
accord de partenariat indépendant du cadre de processus
euro-méditerranéen, dit de Barcelone. "Les Européens disent qu'il y a
le cadre de Barcelone, mais nous voulons un accord de partenariat à
part", a-t-il précisé. Il a affirmé par ailleurs qu'il y avait "des
accords avec d'autres pays européens, mais ils sont secrets et en cours
de discussion". "Tout sera rendu public en temps voulu. Le monde ne
doit pas blâmer la Libye d'avoir négocié et marchandé. Ce sont les
Européens qui ont transformé une affaire criminelle et humaine en
affaire politique."
En parallèle, il a indiqué avoir mené l'essentiel des négociations
avec la commissaire européenne aux Affaires extérieures Benita
Ferrero-Waldner, avec le ministre allemand des Affaires étrangères
Frank-Walter Steinmeier, et avec le secrétaire général de l'Elysée
Claude Guéant, ajoutant que "Nicolas Sarkozy et son épouse Cécilia ont
joué un rôle dans ce cadre". Le président français aurait dit
avant-hier lors d'une conversation téléphonique avec le dirigeant
libyen que la France était prête à équiper les hôpitaux de la ville de
Benghazi, là où le drame s'est produit. Le ministre des Affaires
étrangères français Bernard Kouchner a déclaré jeudi 19 juillet que
Nicolas Sarkozy se rendrait en Libye mercredi 25 juillet. Le
porte-parole de l'Elysée David Martinon s'est contenté de dire que le
président accepterait l'invitation de Kadhafi "si cela pouvait être
utile".
Il a également expliqué que la Libye était "un partenaire
stratégique dans le cadre du projet d'Union méditerranéenne auquel
travaille le président Sarkozy. Par conséquent, le voyage du président
français s'inscrirait dans la suite de sa tournée au Maghreb. Il
voudrait en discuter avec Mouammar Kadhafi, qui s'est montré très
intéressé." Il a ajouté qu'il y avait également "des questions
d'intérêt commun entre la Libye et la France, dont la lutte contre le
terrorisme. De même, la France entretient des relations efficaces avec
la Libye sur les réseaux d'immigration illégale."
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