Etoffons, étoffons la rubrique culturelle...
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Etoffons, étoffons la rubrique culturelle...
Je suis allée au cinoche hier voir "Délice Paloma" (et non pas "Paloma Rose")... Petit film tourné en Algérie, dans Alger. J'en parlais hier après Yap et sa Méditerranée à lui...
Voici la critique que j'ai lue sur "la télélibre"...
MARGOT FAIT SON CINÉMA: « Délice Paloma » un vrai régal
Nadir Moknèche, le réalisateur, est un vrai séducteur. Il nous
présente son Algérie d’aujourd’hui avec une Madame Aldjéria campée par
une Byouna tout aussi rare et attachante. L’histoire de Paloma, jolie
comme un cœur, nous promène dans les rues blanches des nuits d’Alger,
au son de la musique envoûtante de Pierre Bastaroli. Alger la Blanche,
éclatante sous le soleil, vue d’un appartement au 17ème étage sans
ascenseur, avec terrasse bariolée d’oiseaux (en cage) et piscine (de la
taille d’une baignoire). En même temps, ce film nous montre une Algérie
tout en contrastes, entre les ruines majestueuses de l’empire romain de
Caracalla et les discothèques branchées où l’on offre du champagne aux
jolies filles. Très vite, on est scotché aux personnages, à cette mère
trop possessive mais tellement dévouée à aider les autres. « Madame
Aldjéria vous arrangera ça », c’est écrit sur sa carte de visite. Ça ?
Tout ou presque ! Il suffit d’apporter votre contribution sonnante et
trébuchante à la concrétisation de son projet d’avenir. Un rêve
d’enfance de Madame Aldjéria. Alors, tous les moyens sont bons… avec
les risques en plus. Et ça, justement, c’est toute l’histoire de Madame
Aldjéria. Un parfum de jasmin… un goût de rose… plaisir… bonheur… « Je
pense à toi, Paloma… »
■ Margot Deschamps
L'actrice principale est vraiment un sacré personnage ! Son personnage en est un sacré aussi . Et cette petite Paloma est absolument sublime.
On se ballade dans Alger, et cette Alger est exactement telle que je me la représentais quand mon premier amour, pied-noir né à Alger, me racontait son enfance... quand les journalistes de F2 rentraient d'Algérie après les émeutes des années 80... ou quand j'en parle avec des amis Algériens, qui y retournent régulièrement parce qu'ils gardent tous, même s'ils sont plutôt bien intégrés en France ou en Suisse, un attachement incroyable à leur pays et à Alger.Bizarrement, je me suis vraiment retrouvée comme dans des "souvenirs" alors que je n'ai jamais mis les pieds à Alger. Et puis cette mère-maquerelle qui veut être une femme libre est si attachante.
Voici la critique que j'ai lue sur "la télélibre"...
MARGOT FAIT SON CINÉMA: « Délice Paloma » un vrai régal
Nadir Moknèche, le réalisateur, est un vrai séducteur. Il nous
présente son Algérie d’aujourd’hui avec une Madame Aldjéria campée par
une Byouna tout aussi rare et attachante. L’histoire de Paloma, jolie
comme un cœur, nous promène dans les rues blanches des nuits d’Alger,
au son de la musique envoûtante de Pierre Bastaroli. Alger la Blanche,
éclatante sous le soleil, vue d’un appartement au 17ème étage sans
ascenseur, avec terrasse bariolée d’oiseaux (en cage) et piscine (de la
taille d’une baignoire). En même temps, ce film nous montre une Algérie
tout en contrastes, entre les ruines majestueuses de l’empire romain de
Caracalla et les discothèques branchées où l’on offre du champagne aux
jolies filles. Très vite, on est scotché aux personnages, à cette mère
trop possessive mais tellement dévouée à aider les autres. « Madame
Aldjéria vous arrangera ça », c’est écrit sur sa carte de visite. Ça ?
Tout ou presque ! Il suffit d’apporter votre contribution sonnante et
trébuchante à la concrétisation de son projet d’avenir. Un rêve
d’enfance de Madame Aldjéria. Alors, tous les moyens sont bons… avec
les risques en plus. Et ça, justement, c’est toute l’histoire de Madame
Aldjéria. Un parfum de jasmin… un goût de rose… plaisir… bonheur… « Je
pense à toi, Paloma… »
■ Margot Deschamps
L'actrice principale est vraiment un sacré personnage ! Son personnage en est un sacré aussi . Et cette petite Paloma est absolument sublime.
On se ballade dans Alger, et cette Alger est exactement telle que je me la représentais quand mon premier amour, pied-noir né à Alger, me racontait son enfance... quand les journalistes de F2 rentraient d'Algérie après les émeutes des années 80... ou quand j'en parle avec des amis Algériens, qui y retournent régulièrement parce qu'ils gardent tous, même s'ils sont plutôt bien intégrés en France ou en Suisse, un attachement incroyable à leur pays et à Alger.Bizarrement, je me suis vraiment retrouvée comme dans des "souvenirs" alors que je n'ai jamais mis les pieds à Alger. Et puis cette mère-maquerelle qui veut être une femme libre est si attachante.
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