konseledise!!!!
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Gotch
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konseledise!!!!
Grand banditisme : «Á Toulouse comme ailleurs, le rêve d'un voyou, c'est de devenir un notable»
Chercheur associé au CNRS, Thierry Colombié, 41 ans, vit à Toulouse. Il est l'un des rares spécialistes français du Milieu et du trafic international de drogues. Il vient de publier Beaux Voyous (Fayard), un récit où des trafiquants internationaux Français et Siciliens dévoilent les arcanes de la « French Sicilian Connection », un important trafic d'héroïne de la fin des années 1970 géré par des Marseillais et des Familles de Palerme.
L’auteur de l'ouvrage éclaire pour LibéToulouse la nature du grand banditisme à Toulouse et dans le Sud Ouest. Entretien.
Libé Toulouse : Comment et autour de quelles activités le grand banditisme est-il présent dans le Sud Ouest ?
Thierry Colombié : Le Sud Ouest n'a jamais été une zone d'implantation du grand banditisme, mais une base de repli et d'affaires du Milieu marseillais, toulonnais et lyonnais.
Il y a toujours quelques équipes structurées, mais elles n'ont pas la puissance des organisations de Marseille ou Bastia. On retrouve ces équipes dans les villes comme Bordeaux, Agen, Toulouse, Béziers, Sète et Montpellier, regroupées autour de noyaux familiaux, de clans.
Leurs affaires sont la drogue, bien sûr, les machines à sous, les vols à main armée. Mais il ne faut pas oublier les affaires «saines», bars, hôtels, boîtes de nuit, saunas, cercles de jeux...
Mais le rêve d'un voyou, c'est devenir un notable. Il nourrit l’idée que faire équipe avec un homme politique ouvre la porte de l'impunité.
Pourquoi le grand banditisme fait-il si peu parler de lui à Toulouse ?
Je connais des vieux gangsters toulousains qui m'ont dit la même chose. Dans les années 1960, ils organisaient des soirées libertines - un scandale à l'époque ! – avec hommes politiques, procureurs, avocats, architectes, policiers... Il y avait déjà de la cocaïne, des filles de joie et ils n'ont jamais été arrêtés. L'art de la discrétion, c'est le renvoi d'ascenseur.
Il existait à l'époque une étroite relation entre ces voyous-là et certains policiers qui, contrairement au turn over administratif, sont restés très longtemps à leur poste.
Par la suite, ces gangsters ont investi le milieu de la nuit toulousaine : boîtes de nuit, prostitution, drogue. Comme le grand banditisme est une grande famille, certains se sont associés à des Marseillais, ceux-là même qui vendaient l'héroïne. Les liens sont toujours d'actualité.
Á la fin des années 1970, ceux qui régnaient sur les quartiers comme Saint-Michel, Saint-Cyprien ou Les Minimes, se sont discrètement retirés des affaires ou sont partis vivre en Espagne.
Les années 1980 ont été marquées par de violentes attaques à main armée contre des banques, des fourgons et l'explosion du trafic de shit et de cocaïne. La prostitution en appartement a pris la relève de la rue.
Á Marseille, le football a pu servir de lien entre voyous et politiques. Quid du rugby dans notre région ?
Le rugby est un sport qui brasse de plus en plus d'argent.
Lorsqu'il était amateur, que ce soit le XIII ou le XV, il existait déjà des liens entre le milieu sportif et le Milieu tout court. Les joueurs de rugby sont des hommes costauds, téméraires, et les dirigeants ont toujours eu besoin d'argent.
Le professionnalisme, c'est la meilleure chose qui pouvait arriver aux beaux voyous, -je parle là d'hommes connus pour leur puissance de feu et souvent intouchables.
Le rugby est devenu l’occasion pour eux de trouver des individus ayant un gros carnet d'adresse, la capacité de blanchir de l'argent et d'en gagner beaucoup. C'était enfin l'occasion de fréquenter l'élite économique et politique d'une ville ou d'une région.
Aujourd'hui, il y a un autre phénomène, très inquiétant, celui des paris clandestins. Des sommes colossales sont en jeu. Une pénalité qui passe à côté des poteaux, ça vaut, aujourd'hui, plusieurs milliers d'euros.
Pour le livre « Beaux Voyous », comment avez-vous enquêté pour retracer le parcours de la «French Sicilian connection» ?
J'ai rencontré les protagonistes de ce trafic international d'héroïne. Durant quatre ans, j'ai réussi à gagner la confiance de trois d'entre eux et à les convaincre de me parler. Ce fut long, harassant, dangereux même, mais j'ai réussi à croiser leurs informations.
Les faits sont si romanesques que j'ai décidé d'y inclure des dialogues, revus et corrigés par leurs soins. On croirait lire un roman, mais tout est absolument authentique.
La plupart des «beaux voyous» du livre sont toujours en activité. Quelles sont les motivations de ceux qui vous ont parlé ?
D'abord, les faits sont prescrits. Ensuite, il faut savoir que ces gens-là ont un besoin viscéral de parler de leur parcours, de leurs faits d'armes. Enfin, ils se sont pris au jeu et se sont dit que c'était l'occasion de raconter la véritable histoire du trafic, de remettre les pendules à l'heure sur pas mal d'affaires de l'époque. On y comprend que le Milieu, surtout marseillais, est au… centre de tout ! »
Ne craignez vous pas pour votre sécurité ?
Non... mais il m'est arrivé d’avoir quelques sueurs froides.
Propos recueillis par Jean-Manuel ESCARNOT
http://www.libetoulouse.fr/2007/2008/01/grand-banditism.html
Chercheur associé au CNRS, Thierry Colombié, 41 ans, vit à Toulouse. Il est l'un des rares spécialistes français du Milieu et du trafic international de drogues. Il vient de publier Beaux Voyous (Fayard), un récit où des trafiquants internationaux Français et Siciliens dévoilent les arcanes de la « French Sicilian Connection », un important trafic d'héroïne de la fin des années 1970 géré par des Marseillais et des Familles de Palerme.
L’auteur de l'ouvrage éclaire pour LibéToulouse la nature du grand banditisme à Toulouse et dans le Sud Ouest. Entretien.
Libé Toulouse : Comment et autour de quelles activités le grand banditisme est-il présent dans le Sud Ouest ?
Thierry Colombié : Le Sud Ouest n'a jamais été une zone d'implantation du grand banditisme, mais une base de repli et d'affaires du Milieu marseillais, toulonnais et lyonnais.
Il y a toujours quelques équipes structurées, mais elles n'ont pas la puissance des organisations de Marseille ou Bastia. On retrouve ces équipes dans les villes comme Bordeaux, Agen, Toulouse, Béziers, Sète et Montpellier, regroupées autour de noyaux familiaux, de clans.
Leurs affaires sont la drogue, bien sûr, les machines à sous, les vols à main armée. Mais il ne faut pas oublier les affaires «saines», bars, hôtels, boîtes de nuit, saunas, cercles de jeux...
Mais le rêve d'un voyou, c'est devenir un notable. Il nourrit l’idée que faire équipe avec un homme politique ouvre la porte de l'impunité.
Pourquoi le grand banditisme fait-il si peu parler de lui à Toulouse ?
Je connais des vieux gangsters toulousains qui m'ont dit la même chose. Dans les années 1960, ils organisaient des soirées libertines - un scandale à l'époque ! – avec hommes politiques, procureurs, avocats, architectes, policiers... Il y avait déjà de la cocaïne, des filles de joie et ils n'ont jamais été arrêtés. L'art de la discrétion, c'est le renvoi d'ascenseur.
Il existait à l'époque une étroite relation entre ces voyous-là et certains policiers qui, contrairement au turn over administratif, sont restés très longtemps à leur poste.
Par la suite, ces gangsters ont investi le milieu de la nuit toulousaine : boîtes de nuit, prostitution, drogue. Comme le grand banditisme est une grande famille, certains se sont associés à des Marseillais, ceux-là même qui vendaient l'héroïne. Les liens sont toujours d'actualité.
Á la fin des années 1970, ceux qui régnaient sur les quartiers comme Saint-Michel, Saint-Cyprien ou Les Minimes, se sont discrètement retirés des affaires ou sont partis vivre en Espagne.
Les années 1980 ont été marquées par de violentes attaques à main armée contre des banques, des fourgons et l'explosion du trafic de shit et de cocaïne. La prostitution en appartement a pris la relève de la rue.
Á Marseille, le football a pu servir de lien entre voyous et politiques. Quid du rugby dans notre région ?
Le rugby est un sport qui brasse de plus en plus d'argent.
Lorsqu'il était amateur, que ce soit le XIII ou le XV, il existait déjà des liens entre le milieu sportif et le Milieu tout court. Les joueurs de rugby sont des hommes costauds, téméraires, et les dirigeants ont toujours eu besoin d'argent.
Le professionnalisme, c'est la meilleure chose qui pouvait arriver aux beaux voyous, -je parle là d'hommes connus pour leur puissance de feu et souvent intouchables.
Le rugby est devenu l’occasion pour eux de trouver des individus ayant un gros carnet d'adresse, la capacité de blanchir de l'argent et d'en gagner beaucoup. C'était enfin l'occasion de fréquenter l'élite économique et politique d'une ville ou d'une région.
Aujourd'hui, il y a un autre phénomène, très inquiétant, celui des paris clandestins. Des sommes colossales sont en jeu. Une pénalité qui passe à côté des poteaux, ça vaut, aujourd'hui, plusieurs milliers d'euros.
Pour le livre « Beaux Voyous », comment avez-vous enquêté pour retracer le parcours de la «French Sicilian connection» ?
J'ai rencontré les protagonistes de ce trafic international d'héroïne. Durant quatre ans, j'ai réussi à gagner la confiance de trois d'entre eux et à les convaincre de me parler. Ce fut long, harassant, dangereux même, mais j'ai réussi à croiser leurs informations.
Les faits sont si romanesques que j'ai décidé d'y inclure des dialogues, revus et corrigés par leurs soins. On croirait lire un roman, mais tout est absolument authentique.
La plupart des «beaux voyous» du livre sont toujours en activité. Quelles sont les motivations de ceux qui vous ont parlé ?
D'abord, les faits sont prescrits. Ensuite, il faut savoir que ces gens-là ont un besoin viscéral de parler de leur parcours, de leurs faits d'armes. Enfin, ils se sont pris au jeu et se sont dit que c'était l'occasion de raconter la véritable histoire du trafic, de remettre les pendules à l'heure sur pas mal d'affaires de l'époque. On y comprend que le Milieu, surtout marseillais, est au… centre de tout ! »
Ne craignez vous pas pour votre sécurité ?
Non... mais il m'est arrivé d’avoir quelques sueurs froides.
Propos recueillis par Jean-Manuel ESCARNOT
http://www.libetoulouse.fr/2007/2008/01/grand-banditism.html
sam telam-
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Re: konseledise!!!!
Je me suis laissé dire que bien des notables, en revanche, sont devenus des voyous! Voir à Lyon.... A Bordeaux.... Voir dans les ZooDeScènes (tiens, y'a un (P)résidu qui y a été maire! Coïncidence!)
Re: konseledise!!!!
En parlant de voyous, paraît que Paris est la plaque tournante de l'Europe (voire du monde) pour la came...
La colombienne transiterait par les Antilles, l'Afrique, puis Paris... et de là... serait expédiée à toute l'Europe et repartirait aux States même...
Pourtant, le Mexique est, lui, devenu le pourvoyeur de came pour les USA...
Et dans la drogue, ça s'appelle des camodollars ou des camoeuros ?
La colombienne transiterait par les Antilles, l'Afrique, puis Paris... et de là... serait expédiée à toute l'Europe et repartirait aux States même...
Pourtant, le Mexique est, lui, devenu le pourvoyeur de came pour les USA...
Et dans la drogue, ça s'appelle des camodollars ou des camoeuros ?
Re: konseledise!!!!
Si je ne m'abuse, ne parle-t-on pas de stupodollars, déjà ?clomani a écrit:En parlant de voyous, paraît que Paris est la plaque tournante de l'Europe (voire du monde) pour la came...
La colombienne transiterait par les Antilles, l'Afrique, puis Paris... et de là... serait expédiée à toute l'Europe et repartirait aux States même...
Pourtant, le Mexique est, lui, devenu le pourvoyeur de came pour les USA...
Et dans la drogue, ça s'appelle des camodollars ou des camoeuros ?
Re: konseledise!!!!
Gotch a écrit:Si je ne m'abuse, ne parle-t-on pas de stupodollars, déjà ?clomani a écrit:En parlant de voyous, paraît que Paris est la plaque tournante de l'Europe (voire du monde) pour la came...
La colombienne transiterait par les Antilles, l'Afrique, puis Paris... et de là... serait expédiée à toute l'Europe et repartirait aux States même...
Pourtant, le Mexique est, lui, devenu le pourvoyeur de came pour les USA...
Et dans la drogue, ça s'appelle des camodollars ou des camoeuros ?
Bon, ben j'avais oublié narco-dollars aussi... Bref, l'économie mondiale et mondialisante est vachement ouverte et tolérante, elle ... n'importe quel traffic est béni... peu importe d'où vient le fric... il n'a pas d'odeur.
Re: konseledise!!!!
"...En parlant de voyous, paraît que Paris est la plaque tournante de l'Europe (voire du monde) pour la came..."
Ca me parait TRES éxagéré. Et c'est fondé sur quoi?....
A Paris c'est plutôt le fric de la dope qui transite que la dope elle-même.
Ca me parait TRES éxagéré. Et c'est fondé sur quoi?....
A Paris c'est plutôt le fric de la dope qui transite que la dope elle-même.
scud56-
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Re: konseledise!!!!
scud56 a écrit:"...En parlant de voyous, paraît que Paris est la plaque tournante de l'Europe (voire du monde) pour la came..."
Ca me parait TRES éxagéré. Et c'est fondé sur quoi?....
A Paris c'est plutôt le fric de la dope qui transite que la dope elle-même.
Ben ch'ais plus, mon cher Scud... j'ai dû entendre ça dans la bouche d'un de nos experts invités à la téloche dans une émission de merde...
Donc j'ai fait ma pipelette de comptoir... (désolée... j'referai pus)
Re: konseledise!!!!
Une autre histoire de voyous
http://www.bakchich.info/article2398.html
L’assassin de Gilles Andruet, le « Mozart des damiers », condamné par la justice, vit tranquillement au Maroc et tient à Marrakech un hôtel fréquenté par les stars. « Bakchich » retrace l’enquête qui mène du monde du jeu au business lucratif des souvenirs vendus dans les rues de Paris.
http://www.bakchich.info/article2398.html
L’assassin de Gilles Andruet, le « Mozart des damiers », condamné par la justice, vit tranquillement au Maroc et tient à Marrakech un hôtel fréquenté par les stars. « Bakchich » retrace l’enquête qui mène du monde du jeu au business lucratif des souvenirs vendus dans les rues de Paris.
Re: konseledise!!!!
clomani a écrit:scud56 a écrit:"...En parlant de voyous, paraît que Paris est la plaque tournante de l'Europe (voire du monde) pour la came..."
Ca me parait TRES éxagéré. Et c'est fondé sur quoi?....
A Paris c'est plutôt le fric de la dope qui transite que la dope elle-même.
Ben ch'ais plus, mon cher Scud... j'ai dû entendre ça dans la bouche d'un de nos experts invités à la téloche dans une émission de merde...
Donc j'ai fait ma pipelette de comptoir... (désolée... j'referai pus)
Pas de souci, Clo, on est sur un forum entre potes, alors on peut aussi causer tranquille sans se justifier systématiquement dès qu'on dit un truc... J'ai également entendu cette histoire de "plaque tournante" dans une émission sur TF1 qui parlait de drogue en sortant BEAUCOUP de conneries ( en bref, le discours du début des années 70 sans compter des amalgames crétins "le haschich est aussi dangereux que l'héro....).
Ce qui est certain c'est que les "stups" hollandais ont ouvert il y a quelques années un bureau pour enquêter sur le blanchiment du fric de la dope... Ils ne l'ont pas ouvert à Londres ou à Zürich, mais à Paris...
scud56-
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Re: konseledise!!!!
Intéressant cet article. On voit comment les milieux politiques, showbiz et mafieux sont interconnectés.liliM a écrit:Une autre histoire de voyous
http://www.bakchich.info/article2398.html
L’assassin de Gilles Andruet, le « Mozart des damiers », condamné par la justice, vit tranquillement au Maroc et tient à Marrakech un hôtel fréquenté par les stars. « Bakchich » retrace l’enquête qui mène du monde du jeu au business lucratif des souvenirs vendus dans les rues de Paris.
Invité- Invité
Re: konseledise!!!!
scud56 a écrit:clomani a écrit:scud56 a écrit:"...En parlant de voyous, paraît que Paris est la plaque tournante de l'Europe (voire du monde) pour la came..."
Ca me parait TRES éxagéré. Et c'est fondé sur quoi?....
A Paris c'est plutôt le fric de la dope qui transite que la dope elle-même.
Ben ch'ais plus, mon cher Scud... j'ai dû entendre ça dans la bouche d'un de nos experts invités à la téloche dans une émission de merde...
Donc j'ai fait ma pipelette de comptoir... (désolée... j'referai pus)
Pas de souci, Clo, on est sur un forum entre potes, alors on peut aussi causer tranquille sans se justifier systématiquement dès qu'on dit un truc... J'ai également entendu cette histoire de "plaque tournante" dans une émission sur TF1 qui parlait de drogue en sortant BEAUCOUP de conneries ( en bref, le discours du début des années 70 sans compter des amalgames crétins "le haschich est aussi dangereux que l'héro....).
Ce qui est certain c'est que les "stups" hollandais ont ouvert il y a quelques années un bureau pour enquêter sur le blanchiment du fric de la dope... Ils ne l'ont pas ouvert à Londres ou à Zürich, mais à Paris...
je crois que c'est plutot anvers le point d'entrée européen de toute la dope dispatchée ensuite sur le continent...en attendant l'emprise du milieu est réelle dans toutes les grandes villes et se fait très présente auprès des politicards...
...lisez american deth trip et american tabloid de james ellroy, le melange consanguin entre services secrets, politiques, police, mafia et barons de la drogue est terrifiant...c'est à peine romancé etc'est l'amérique de 58 à 68! ça doit y ressembler chez nous aujourd'hui...
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Re: konseledise!!!!
pour ce qui est de la coke, st martin est une petite ile tres sympa.....et française....
non, mais c'est important de faire savoir que ce chercheur a écrit ce bouquin, parce que c'est documenté et scientifique, ça change des pseudos bouquins à grand tirage de gangsters repentis, et puis ce type risque tout simplement sa peau en écrivant ce qu' il écrit..alors plus on sera nombreux à savoir, plus la garantie pour lui, sera grande de rester en vie....
non, mais c'est important de faire savoir que ce chercheur a écrit ce bouquin, parce que c'est documenté et scientifique, ça change des pseudos bouquins à grand tirage de gangsters repentis, et puis ce type risque tout simplement sa peau en écrivant ce qu' il écrit..alors plus on sera nombreux à savoir, plus la garantie pour lui, sera grande de rester en vie....
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