Un aut' pote du (p)résidu a un chienne...
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Un aut' pote du (p)résidu a un chienne...
Rubrique de Sherlock.Com (A.S.I.)
J'adore quand les media s'intéressent aux copains du (p)résidu... et à leurs chiens (et en passant à leurs rapports à l'humain) !!!
Hyperactif : Bertrand se lève tôt comme sa chienne
Au cours de l'interview, Bertrand veut
faire passer deux messages : il a une vie de famille harmonieuse, et il
travaille beaucoup. Et au milieu de tout ça, sa chienne : " Alice,
c'est celle qui m'accompagne très tard le soir et tôt le matin (…)
C'est de notoriété publique que je dors très peu, 3 ou 4 heures par
nuit, donc c'est elle qui m'accompagne et qui reste près de moi quand
je veille". Et le journaliste de pousser un peu plus loin ses questions "A la maison, c'est vous qui la sortez ? XB : "Tôt
le matin, c'est moi, je l'assume (sic), cela me donne l'occasion
d'aller chercher les journaux avec elle et tard le soir également, je
préfère que ce soit moi. On a la chance d'être en maison à Saint Quentin [Vive la France de propriétaires et les élus locaux], je
suis donc celui qui lui ouvre la porte le premier le matin et comme je
suis celui qui se lève le plus tôt et qui se couche le plus tard, c'est
à moi que revient cette tâche". Le message est bien passé, deux
fois : XB est un homme politique hyperactif, qui ne dort jamais et est
toujours en mouvement. Un modèle de la France qui se lève tôt (et se
couche tard), copie conforme de celui qui a bâti sa carrière autour de
cette image d'hyperactif...
"Un concentré d'énergie qui n'a rien à voir avec la taille"
Son fils Louis a un Chihuahua, lui a un labrador que lui ont offert les
autorités canadiennes. Il est comme tout maître, il sait se faire
respecter et il est aussi proche d'eux". Est-il en train de nous
définir le profil d'un président avec ses ministres et le peuple ?
En tout cas, la passion pour les chiens a un vrai sens politique selon Bertrand : "Pensez-vous qu'il faille aimer les chiens pour devenir Président de la République ? On peut aimer les chiens sans devenir Président de la République mais qui aime les chiens aime les humains".
Ouf, c'est son cas et celui de Nicolas Sarkozy. Pas de bourde en vue,
et l’espoir de toucher 30 millions d'amis et 60 millions d'électeurs.
Avant Bertrand et Alice, il y avait eu Bertrand au foot et en père Noël
L'interview canine de Xavier Bertrand
s'inscrit dans une longue série de plans de com' plus ou moins réussis.
Ces derniers mois, le secrétaire général de l'UMP a multiplié les
interventions "pipolo-médiatiques" pour faire parler de lui.
En avril dernier, Envoyé Spécial lui avait consacré un portrait où il avait pu montrer tout son "talent" de communicant en incarnant à la perfection l'homme politique qui se veut "sympathique et proche des gens".
Xavier au foot Xavier devant son école
Xavier en père Noël
Depuis plusieurs mois, les plans de com' s'enchaînent donc. Mais d'Envoyé Spécial au
plan de com' canin, on note une petite dégradation de la qualité de sa
couverture médiatique. Aurait-il du mal à faire venir les journalistes ?
J'adore quand les media s'intéressent aux copains du (p)résidu... et à leurs chiens (et en passant à leurs rapports à l'humain) !!!
"Très jeune, dès 16 ans, il s'est passionné pour la politique et finalement elle le lui rend bien puisque ces dernières années, il a occupé quelques-uns des postes les plus importants du gouvernement". Voilà comment Xavier Bertrand est présenté par Eric Romain, le très sérieux "directeur de la publication et de la rédaction" du nouveau magazine "Doggy Célébrités", daté septembre/octobre. Le secrétaire général de l'UMP a accordé une longue interview à ce magazine pour raconter comment il concilie ses activités politiques avec sa vie en compagnie de sa chienne, Alice. Mais que vient faire le "chouchou" du Président dans un magazine sur les chiens-chiens de célébrités ? |
Hyperactif : Bertrand se lève tôt comme sa chienne
> Cliquez sur l'image pour un gros plan < | Dès la première question, on sent qu'on va vivre un grand moment d'interview politique : "Monsieur le Ministre, on peut penser que le monde politique permet difficilement d'avoir une vie de famille équilibrée avec une épouse, trois enfants et un chien, et pourtant, cette vie là, c'est la vôtre aujourd'hui ?" XB : "C'est indispensable pour avoir un équilibre, pour prendre du recul ! C'est vrai que les plages réservées à la vie familiale ne sont peut-être pas aussi nombreuses, donc on fait en sorte qu'elles soient les plus intenses possible. Et puis, il y a des moments qui sont réservés, que ce soit tôt le matin car j'ai la chance que les enfants se lèvent assez tôt donc je peux aussi profiter et il y a quand même des moments où le dimanche par exemple, on peut essayer de m'appeler, on n'aura que mon répondeur lors justement de la balade qui est un moment privilégié". Ah bon, il ne travaille pas le dimanche ? |
Au cours de l'interview, Bertrand veut
faire passer deux messages : il a une vie de famille harmonieuse, et il
travaille beaucoup. Et au milieu de tout ça, sa chienne : " Alice,
c'est celle qui m'accompagne très tard le soir et tôt le matin (…)
C'est de notoriété publique que je dors très peu, 3 ou 4 heures par
nuit, donc c'est elle qui m'accompagne et qui reste près de moi quand
je veille". Et le journaliste de pousser un peu plus loin ses questions "A la maison, c'est vous qui la sortez ? XB : "Tôt
le matin, c'est moi, je l'assume (sic), cela me donne l'occasion
d'aller chercher les journaux avec elle et tard le soir également, je
préfère que ce soit moi. On a la chance d'être en maison à Saint Quentin [Vive la France de propriétaires et les élus locaux], je
suis donc celui qui lui ouvre la porte le premier le matin et comme je
suis celui qui se lève le plus tôt et qui se couche le plus tard, c'est
à moi que revient cette tâche". Le message est bien passé, deux
fois : XB est un homme politique hyperactif, qui ne dort jamais et est
toujours en mouvement. Un modèle de la France qui se lève tôt (et se
couche tard), copie conforme de celui qui a bâti sa carrière autour de
cette image d'hyperactif...
"Un concentré d'énergie qui n'a rien à voir avec la taille"
De toute évidence, Xavier Bertrand a voulu utiliser le prétexte de sa chienne pour évoquer son travail d'élu et sa vie familiale paisible. Parfois, on se demande s'il ne se laisse pas aller à des confidences subliminales : "Vous avez une préférence pour les petits ou les grands chiens ? Je n'aurais jamais imaginé [avoir un petit chien] quand j'ai eu mes premiers chiens et que je me tournerais peut-être un jour vers des chiens de cette taille-là mais ils sont vraiment formidables. Il y a un concentré d'énergie qui n'a rien à voir avec la taille". (Nicolas ? Ouaf Ouaf) A deux reprises, dans cette interview canine, il est question de Nicolas Sarkozy : "Vous êtes un proche du Président de la République, comment est-il avec ses chiens ? Il sait se faire entendre. | > Cliquez sur l'image pour un gros plan < |
Son fils Louis a un Chihuahua, lui a un labrador que lui ont offert les
autorités canadiennes. Il est comme tout maître, il sait se faire
respecter et il est aussi proche d'eux". Est-il en train de nous
définir le profil d'un président avec ses ministres et le peuple ?
En tout cas, la passion pour les chiens a un vrai sens politique selon Bertrand : "Pensez-vous qu'il faille aimer les chiens pour devenir Président de la République ? On peut aimer les chiens sans devenir Président de la République mais qui aime les chiens aime les humains".
Ouf, c'est son cas et celui de Nicolas Sarkozy. Pas de bourde en vue,
et l’espoir de toucher 30 millions d'amis et 60 millions d'électeurs.
Avant Bertrand et Alice, il y avait eu Bertrand au foot et en père Noël
L'interview canine de Xavier Bertrand
s'inscrit dans une longue série de plans de com' plus ou moins réussis.
Ces derniers mois, le secrétaire général de l'UMP a multiplié les
interventions "pipolo-médiatiques" pour faire parler de lui.
En avril dernier, Envoyé Spécial lui avait consacré un portrait où il avait pu montrer tout son "talent" de communicant en incarnant à la perfection l'homme politique qui se veut "sympathique et proche des gens".
Xavier au foot Xavier devant son école
Xavier en père Noël
En juin dernier, comme nous vous l’avions raconté, c'était à Paris-Match qu'il avait ouvert sa chambre d'hôtel. "Le secrétaire général veut garder la forme. Il fait attention à son équilibre alimentaire, pédale vingt à quarante-cinq minutes par jour sur son vélo d'appartement, soigne ses biceps grâce à deux haltères de 3 kilos chacune". Trois kilos ? Attention au claquage, hein ! Sportif, il apparaissait aussi comme quelqu’un dans le coup : "Fondu de deux-roues, Xavier Bertrand vient de s'acheter le dernier scooter Honda 400 pour l'été. Mais il est surtout un fou de high-tech. Toujours le dernier joujou à la mode à portée de main. (...) Ce parfait insomniaque consacre deux heures, pas moins, à répondre à tous ses mails et SMS". | > Cliquez sur l'image pour un gros plan < |
Depuis plusieurs mois, les plans de com' s'enchaînent donc. Mais d'Envoyé Spécial au
plan de com' canin, on note une petite dégradation de la qualité de sa
couverture médiatique. Aurait-il du mal à faire venir les journalistes ?
Re: Un aut' pote du (p)résidu a un chienne...
suite :
Au cours de l’interview, Xavier Bertrand va faire une confidence… "Alice vous a-t-elle suivi dans les deux ministères que vous avez dirigés ?
XB : Toujours, quand on l’a eue, j’étais à la Santé et elle a fait le
ministère du Travail. Elle avait une préférence pour le ministère du
Travail parce qu’il y avait un grand jardin ! Moi, je n’ai pas de
préférence entre les deux ministères, je l’assume [décidément !] mais
elle oui… Elle est plus attachée que moi aux fauteuils ministériels,
elle doit les trouver beaucoup plus confortables que son maître !" Tiens tiens, Alice serait-elle plus franche que son maître ?
A l’UMP, Lefebvre monopolise la parole au détriment de Xavier Bertrand
Xavier Bertrand n’avait pas vocation à
prendre la tête de l’UMP. Il l’a accepté car Nicolas Sarkozy le lui a
demandé pour se débarrasser de Patrick Devedjian, manifestement pas
très à l’aise dans ce rôle. Mais, jusqu’au bout, Bertrand a essayé de
rester au gouvernement. Comme le racontait le Canard enchaîné du 10 décembre 2008,
"Chouchou ne peut rien refuser au Président, sauf à perdre son surnom.
Depuis des semaines, il intriguait tout de même pour garder son
ministère tout en s'installant à l'UMP". Mais Sarkozy a tranché et
repris la jurisprudence Chirac du 14 juillet 2004. A l’époque, le
président avait demandé à Sarkozy de choisir entre la présidence de
l'UMP et un poste de ministre.
Même son de cloche du côté de l'Express le 19 mars : "Entre eux, la
tension est palpable" raconte un député nouveau venu à la direction.
Face à l'autonomie du porte-parole, le secrétaire général a choisi le
silence. "Bertrand attend que Lefebvre commette un faux pas", décrypte
un responsable".
Xavier Bertrand a bien tenté de couper le micro du porte-parole. Mais Nicolas Sarkozy a tranché… en sa défaveur. Dans le Canard Enchaîné
du 11 mars 2009, on apprenait que le chouchou avait essuyé la colère du
président apprenant que le secrétaire général de l'UMP avait demandé à
son porte-parole de lui soumettre la nature de chacune de ses
interventions dans les médias. Non seulement Lefebvre a refusé, mais il
en a informé immédiatement le président. Le chouchou n’a pas obtenu
gain de cause.
Dans la majorité, Copé vole la vedette au secrétaire général de l'ump
Non seulement Bertrand n’a pas réussi à
s’imposer dans les médias face à Lefebvre, mais il s’est fait voler la
vedette par Jean-François Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée
nationale.
Les alliances de l'UMP se négocient directement à l'Elysée
Sans les projecteurs inhérents à la
fonction de ministre, un peu à l’étroit entre Jean-François Copé et
Frédéric Lefebvre, dépourvu de toute marge de manœuvre à l’UMP, Xavier
Bertrand a endossé, malgré lui, le rôle d'organisateur de l'ombre de la
majorité. Pour tenter de cultiver sa popularité auprès de ses électeurs
et ne pas se faire oublier dans un paysage médiatique où les places
sont chères, Xavier Bertrand multiplie donc les plans de com' dans la
presse et à la télévision. Il a la rage et les dents longues mais
attention à ne pas finir à la niche ! Ouaf.
Au cours de l’interview, Xavier Bertrand va faire une confidence… "Alice vous a-t-elle suivi dans les deux ministères que vous avez dirigés ?
XB : Toujours, quand on l’a eue, j’étais à la Santé et elle a fait le
ministère du Travail. Elle avait une préférence pour le ministère du
Travail parce qu’il y avait un grand jardin ! Moi, je n’ai pas de
préférence entre les deux ministères, je l’assume [décidément !] mais
elle oui… Elle est plus attachée que moi aux fauteuils ministériels,
elle doit les trouver beaucoup plus confortables que son maître !" Tiens tiens, Alice serait-elle plus franche que son maître ?
A l’UMP, Lefebvre monopolise la parole au détriment de Xavier Bertrand
Xavier Bertrand n’avait pas vocation à
prendre la tête de l’UMP. Il l’a accepté car Nicolas Sarkozy le lui a
demandé pour se débarrasser de Patrick Devedjian, manifestement pas
très à l’aise dans ce rôle. Mais, jusqu’au bout, Bertrand a essayé de
rester au gouvernement. Comme le racontait le Canard enchaîné du 10 décembre 2008,
"Chouchou ne peut rien refuser au Président, sauf à perdre son surnom.
Depuis des semaines, il intriguait tout de même pour garder son
ministère tout en s'installant à l'UMP". Mais Sarkozy a tranché et
repris la jurisprudence Chirac du 14 juillet 2004. A l’époque, le
président avait demandé à Sarkozy de choisir entre la présidence de
l'UMP et un poste de ministre.
> Cliquez sur l'image pour un gros plan < | Xavier Bertrand s'est donc résigné à quitter son ministère en espérant pouvoir incarner la parole de la majorité. C’était sans compter sur l’électron un peu trop libre du parti : le porte-parole, Frédéric Lefebvre. Deux mois après son arrivée à l'UMP, Bertrand ne pouvait déjà plus le supporter selon plusieurs sources. Dans le Point du 19 mars 2009, on pouvait lire que "Xavier Bertrand est tellement exaspéré par les sorties de Frédéric Lefebvre qu'il regrette de ne pas avoir conditionné son arrivée à la tête de l'UMP à la suppression du poste de porte-parole. "Lefebvre me gâche le plaisir que j'ai à exercer ma tâche de secrétaire général", se lamente-t-il, frustré d'avoir dû quitter le gouvernement sans avoir même obtenu le ministère... de la parole"". |
Même son de cloche du côté de l'Express le 19 mars : "Entre eux, la
tension est palpable" raconte un député nouveau venu à la direction.
Face à l'autonomie du porte-parole, le secrétaire général a choisi le
silence. "Bertrand attend que Lefebvre commette un faux pas", décrypte
un responsable".
Xavier Bertrand a bien tenté de couper le micro du porte-parole. Mais Nicolas Sarkozy a tranché… en sa défaveur. Dans le Canard Enchaîné
du 11 mars 2009, on apprenait que le chouchou avait essuyé la colère du
président apprenant que le secrétaire général de l'UMP avait demandé à
son porte-parole de lui soumettre la nature de chacune de ses
interventions dans les médias. Non seulement Lefebvre a refusé, mais il
en a informé immédiatement le président. Le chouchou n’a pas obtenu
gain de cause.
Dans la majorité, Copé vole la vedette au secrétaire général de l'ump
Non seulement Bertrand n’a pas réussi à
s’imposer dans les médias face à Lefebvre, mais il s’est fait voler la
vedette par Jean-François Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée
nationale.
> Cliquez sur l'image pour un gros plan < | La presse se fait régulièrement l'écho de ce duel. Et à l’applaudimètre, Copé sort souvent gagnant, comme le raconte Le Point dans son édition du 9 septembre : "Ces deux là ne s'aiment pas. Non, pas vraiment. Entre Xavier Bertrand, secrétaire général de l'UMP, et Jean-François Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, il n'y a pas eu d'éclats ce week-end à Seignosse (Landes). Juste des sourires crispés, des regards assassins et des silences qui en disent long sur leur ambition réciproque, teintée d'une sourde inimitié (...) Empressé et souriant, tel apparaît Bertrand. Sauf quand Jean-François Copé vole la vedette. Exemples samedi. Au beau milieu de l'intervention de Jean-Louis Borloo, Copé déboule et se fait acclamer, contraignant le ministre du Développement durable à s'interrompre. Bertrand se fige et lui jette un œil noir, tandis que Borloo feint de ne pas s'exaspérer. |
Rebelote en soirée. Sur le campus, un dîner est prévu avec les militants autour de Xavier Bertrand. Tout le monde est invité. Rivalité oblige, non loin de là, dans un hôtel-restaurant de la station balnéaire, Jean-François Copé tient des « contre-agapes » avec les journalistes venus nombreux ". Le Monde y va lui aussi de son couplet en expliquant que "l'omniprésident du groupe UMP est sur tous les fronts". En revanche, Xavier Bertrand n’a pas eu le droit au même type d’article depuis longtemps dans les colonnes du journal... |
Les alliances de l'UMP se négocient directement à l'Elysée
Ce n'est pas lui non plus qui pilote la stratégie du parti. Ainsi, cet été, quand De Villiers et les chasseurs finissent par accepter de rejoindre les rangs de la majorité, ce n'est pas le secrétaire général de l'UMP qui négocie ces alliances, mais le président lui-même comme le racontait le Canard enchaîné du 19 Août 2009 : "C'est Sarkozy lui-même - ça ne surprendra personne - qui s'est occupé de draguer Philippe de Villiers et Frédéric Nihous (Chasse, pêche, nature et traditions). (...) Villiers a été relativement facile à séduire". Quant à Nihous, "Sarkozy l'a rencontré avant de s'envoler pour le Cap Nègre en compagnie de Claude Guéant". Mais où est donc passé Xavier Bertrand ? |
Sans les projecteurs inhérents à la
fonction de ministre, un peu à l’étroit entre Jean-François Copé et
Frédéric Lefebvre, dépourvu de toute marge de manœuvre à l’UMP, Xavier
Bertrand a endossé, malgré lui, le rôle d'organisateur de l'ombre de la
majorité. Pour tenter de cultiver sa popularité auprès de ses électeurs
et ne pas se faire oublier dans un paysage médiatique où les places
sont chères, Xavier Bertrand multiplie donc les plans de com' dans la
presse et à la télévision. Il a la rage et les dents longues mais
attention à ne pas finir à la niche ! Ouaf.
Re: Un aut' pote du (p)résidu a un chienne...
Copé, Lefebvre, Bertrand.... Le futur a quelque chose de grandiose, vous trouvez pas?
scud56-
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Re: Un aut' pote du (p)résidu a un chienne...
An effet, ces 3 grands hommes vont être intéressants à suivre... mais, bon, côté socialo, sont pas mal non plus ! Pays de meeeeeeerde ! Enfin, pays aux politiques de meeeeeeerde !scud56 a écrit:Copé, Lefebvre, Bertrand.... Le futur a quelque chose de grandiose, vous trouvez pas?
Re: Un aut' pote du (p)résidu a un chienne...
On a les politiques qu'on mérite. Il ne tient qu'à nous de ne pas voter pour ces cons là.clomani a écrit:An effet, ces 3 grands hommes vont être intéressants à suivre... mais, bon, côté socialo, sont pas mal non plus ! Pays de meeeeeeerde ! Enfin, pays aux politiques de meeeeeeerde !scud56 a écrit:Copé, Lefebvre, Bertrand.... Le futur a quelque chose de grandiose, vous trouvez pas?
(Clo c'est pas "An effet", c'est "En effet". )
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Re: Un aut' pote du (p)résidu a un chienne...
Anéfé !yapadebug a écrit:On a les politiques qu'on mérite. Il ne tient qu'à nous de ne pas voter pour ces cons là.clomani a écrit:An effet, ces 3 grands hommes vont être intéressants à suivre... mais, bon, côté socialo, sont pas mal non plus ! Pays de meeeeeeerde ! Enfin, pays aux politiques de meeeeeeerde !scud56 a écrit:Copé, Lefebvre, Bertrand.... Le futur a quelque chose de grandiose, vous trouvez pas?
(Clo c'est pas "An effet", c'est "En effet". )
Re: Un aut' pote du (p)résidu a un chienne...
Tu me le copieras 100 fois !Gotch a écrit:Anéfé !yapadebug a écrit:On a les politiques qu'on mérite. Il ne tient qu'à nous de ne pas voter pour ces cons là.clomani a écrit:An effet, ces 3 grands hommes vont être intéressants à suivre... mais, bon, côté socialo, sont pas mal non plus ! Pays de meeeeeeerde ! Enfin, pays aux politiques de meeeeeeerde !scud56 a écrit:Copé, Lefebvre, Bertrand.... Le futur a quelque chose de grandiose, vous trouvez pas?
(Clo c'est pas "An effet", c'est "En effet". )
Invité- Invité
Re: Un aut' pote du (p)résidu a un chienne...
yapadebug a écrit:On a les politiques qu'on mérite. Il ne tient qu'à nous de ne pas voter pour ces cons là.
Eeeeh! j'ai pas voté pour ces couillons! pourquoi tu dis "nous"?
scud56-
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Re: Un aut' pote du (p)résidu a un chienne...
Nous les français. Moi non plus je ne vote pas pour eux, mais bon...scud56 a écrit:yapadebug a écrit:On a les politiques qu'on mérite. Il ne tient qu'à nous de ne pas voter pour ces cons là.
Eeeeh! j'ai pas voté pour ces couillons! pourquoi tu dis "nous"?
Invité- Invité
Re: Un aut' pote du (p)résidu a un chienne...
yapadebug a écrit:On a les politiques qu'on mérite. Il ne tient qu'à nous de ne pas voter pour ces cons là.clomani a écrit:An effet, ces 3 grands hommes vont être intéressants à suivre... mais, bon, côté socialo, sont pas mal non plus ! Pays de meeeeeeerde ! Enfin, pays aux politiques de meeeeeeerde !scud56 a écrit:Copé, Lefebvre, Bertrand.... Le futur a quelque chose de grandiose, vous trouvez pas?
(Clo c'est pas "An effet", c'est "En effet". )
Mais j'ai fait esssprès, sauf que j'aurais dû l'écrire ANéFé en effet .
Sinon ch'uis contente :
- j'ai fini mon ménage
- j'ai trouvé ce qui m'empêchait de me connecter à Free avec la Wi-Fi (je tapais sur le mauvais "free") !
- il fait encore beau
- je vais aller voir cette petite pièce de théatre dont je parlais hier...
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